Conclusions générales
Au cours de ce printemps 2002 en France, le débat était rendu quasi impossible du fait de la communautarisation des prises de position, et du refus de toute distance critique. Un espace devait être ouvert en France pour informer à nouveau, en profondeur, pour proposer aussi des perspectives nouvelles sur les données du conflit, sur l’évolution des sociétés palestinienne et israélienne, et enfin pour créer un espace de réflexion où chacun puisse être non seulement entendu et écouté, mais amené à se placer en position d’écoute.